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Environnement : pollution des sols

Temps de lecture : 3 minutes

audit environnemental pollution sol, inventaire

Parce que les sources de pollution chimique sont très diverses, le nombre de substances toxiques susceptibles d’être rencontrées sur un sol pollué est quasiment illimité.

En effet le sol peut être pollué par :
* des infiltrations continues, des fuites répétées ou des déversements accidentels à partir des dispositifs de stockage et de transport de matières premières ou de déchets. Les réservoirs de fuels, huiles de vidanges, les décharges, les canalisations, etc… sont autant de sources de pollutions organiques ou inorganiques ;
* des épandages ou pulvérisations localisés dans le cadre de pratiques agricoles, l’entretien de voiries et de sites industriels . Ces activités représentent également des sources de pollution importantes, représentées par plusieurs familles de substances, voire des mélanges complexes de produits chimiques et d’agents microbiologiques ;
* des retombées au sol d’émissions atmosphériques proches ou lointaines, notamment des HAP (Hydrocarbures aromatiques polycycliques), HAM (Hydrocarbures aromatiques monocycliques), PCB, dioxines, furannes, métaux lourds…

 

De même que pour la pollution atmosphérique, la pollution des sols est d’origine fixe, mobile, diffuse ou ponctuelle.

Pollution diffuse (Difficile d’y remédier) :
* Concentrations faibles
* Surface/volume affectés élevés
* Origine mal définie
* Risque à court et long terme

Pollutions ponctuelles (plus facile d’y remédier) :
* Concentration très élevée
* Surface/volume affectés faibles
* Source de la pollution bien définie
* Risque à court terme et direct

Exemples de sources (fixes ou mobiles) :
– Transport (Métaux lourds)
– Fumées de cheminées (usines, incinérateurs)
– Pratiques agricoles (Résidus Phytosanitaires de surfertilisation)
– Eléments radioactifs
– Stockages de déchets (dépotoirs, CET )
Site industriel (en friche ou en service)
– Réservoirs souterrains (Cuves à mazout, citernes d’hydrocarbures)
– Accidents de la route (rupture d’une cuve de stockage, accidents lors du transport d’hydrocarbures)
– Stations- services
– Fosses septiques…

La nature et le degré de contamination d’un sol sont donc très variables selon l’origine de la pollution, les activités locales, la topographie du lieu, etc… Les pollutions multiples sont courantes. A titre d’exemple, en France, une étude sur le recensement des sites et sols pollués a permis de mettre en évidence, sur 896 sites enregistrés, les principaux polluants rencontrés. Cette étude a montré que les principaux polluants retrouvés représentaient 49 % d’hydrocarbures, 20 % de plomb, 19 % d’HAP, 15 % de solvants halogénés, 15 % de chrome, 15 % de zinc, 12 % de cyanure mais également du cuivre, de l’arsenic, du nickel, des PCB, solvants non halogénés, cadmium, mercure, etc…
Un polluant dans le sol devient dangereux s’il devient mobile et qu’il atteint sa cible (hommes, eaux souterraines ou superficielles, écosystèmes,…). Un sol pollué devient alors un problème de santé publique si le polluant atteint la nappe phréatique ou le cours d’eau avoisinant, si ceux-ci sont destinés à l’alimentation en eau potable.
Certains contaminants sont très connus pour leurs impacts sur la santé. Citons les nitrates et pesticides issus de l’agriculture, les hydrocarbures (fuel, mazout, essence) venant du transport ou des cuves de stockage qui fuient.

Les pesticides :
Les pesticides, volontairement épandus dans l’environnement, contaminent par voie atmosphérique tous les écosystèmes : l’eau, le sol,…, et ce jusqu’aux pôles. Les pesticides comprennent les insecticides, les herbicides et les fongicides.

Les insecticides sont habituellement les plus préoccupants à l’égard de la santé, compte tenu du fait qu’ils peuvent également perturber le métabolisme humain. Les premiers insecticides, les organochlorés (tels que par exemple, le DDT, l’aldrine, le chlordane) représentent un risque important puisque leur persistance environnementale est longue (plusieurs décennies). Ils s’accumulent dans les tissus adipeux pour ne plus s’en déloger. Certaines observations ont permis de mettre en évidence des effets mutagènes, tératogènes, foetotoxiques ou cancérogènes. Les herbicides sont moins toxiques. Les insecticides organophosphorés (tels que le malathion par exemple, que l’on retrouve entre autres dans la plupart des spray anti-poux, le parathion, …) ont une toxicité aiguë plus importante mais sont moins persistants et habituellement non cancérogènes). Les carbamates ont une toxicité similaire à celle des organophosphorés, bien que certains soient de plus en plus bannis.

Les herbicides sont beaucoup moins toxiques, car leurs mécanismes d’action sont conçus pour perturber le métabolisme des végétaux.

Quant aux fongicides (contre les champignons), ils appartiennent à des familles chimiques très diverses. Leur toxicité, très variable, se situe entre celle des insecticides et des herbicides.

Les solvants :
Abondamment utilisés dans une grande variété d’activités, notamment pour dégraisser, nettoyer ou décaper (surfaces métalliques, imprimerie), diluer, suspendre (peinture, adhésifs) ou extraire (chimie, alimentation), les solvants demeurent un des problèmes majeurs en santé au travail à cause du grand nombre de travailleurs exposés et des effets nocifs variés qu’ils peuvent exercer, sans oublier les problèmes de sécurité liés à l’inflammabilité des plus volatils d’entre eux. En plus de leurs propriétés irritantes pour la peau et les muqueuses, l’ensemble des solvants se caractérisent par des effets sur le système nerveux, le foie, le rein, le sang, la fonction reproductive et des effets toxiques sur le fœtus.

La substitution demeure une méthode de choix pour la prévention. Parmi les solutions de remplacement figurent notamment les nettoyants aqueux ou semi-aqueux, certains produits organiques peu volatils tels que terpènes, éthers de glycols, … ainsi que diverses méthodes physiques de nettoyage et de décapage. Attention cependant, certaines nouvelles substances sont commercialisées, sans que leurs propriétés toxiques aiguës ou chroniques n’aient pu être bien documentées et décrites !

Voir aussi notre page Activité diagnostic pollution pollution des sols toutes régions.

 

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