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Pollution de l’air : alerter les pouvoirs publics

Temps de lecture : 3 minutes

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Qualité de l’air intérieur : un livre blanc pour alerter les pouvoirs publics

Dans un Livre Blanc intitulé « l’Air c’est la vie : un enjeu sanitaire majeur”, initié par la FFTB (Fédération Française des Tuiles et des Briques) et le GIE Briques de France, des experts issus du monde médical et du bâtiment, des élus et des représentants du milieu associatif tirent la sonnette d’alarme.

Ce document remis à l’Assemblée Nationale met en évidence la corrélation entre l’augmentation des maladies respiratoires (le nombre d’asthmatiques a doublé en 20 ans) et la présence d’humidité et de moisissures observées dans 40% des logements.

Nous passons plus de 80% de notre temps dans des espaces clos (logements et bureaux). L’air que nous respirons contient une forte concentration de polluants visibles ou invisibles. Certains sont liés à nos comportements (tabagisme, ventilation, température, utilisation de détergents ou de désodorisants). D’autres tiennent notamment à la qualité des matériaux de construction et de décoration. Les types de pollutions sont multiples : physique, chimique ou biologique. Les moisissures relèvent de cette dernière famille.

Du fait d’un fort potentiel allergénique, les moisissures sont responsables de pathologies infectieuses plus ou moins graves (troubles respiratoires, allergies, maladies de peaux, cancers….). On dénombre en France 30% de personnes allergiques. Le risque pour elles de développer une pathologie en rapport avec les moisissures est important selon le Pr Frédéric de BLAY (responsable d’une unité de pneumologie, d’allergologie et de pathologie respiratoire – Hôpitaux universitaires de Strasbourg).

D’autre part, les moisissures provoquent la biodégradation des matériaux de construction et de décoration. Selon le Président du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) Bertrand DELCAMBRE, ces micro-organismes puisent leur « alimentation » en nutriments, oligo-nutriments et vitamines, au sein même des matériaux.

« L’humidité permet la croissance fongique, en même temps qu’elle favorise la dégradation de certains matériaux, elle-même source de pollution. La lutte contre les moisissures repose sur une bonne conception du bâtiment en termes de chauffage, de ventilation et d’absence de ponts thermiques importants. » selon Raphaël Slama, Président de l’Association Qualitel.

Face à cette problématique de santé publique, des experts révèlent l’urgence d’évaluer l’impact sanitaire des matériaux sur la santé des citoyens et de se doter de moyens efficaces permettant d’apprécier la qualité de l’air dans les espaces clos. L’objectif est de mettre en place de véritables solutions pour limiter les risques fongiques et offrir des lieux de vie de meilleure qualité. Il faut bien sûr poursuivre les objectifs de performances énergétiques mais en les associant à des objectifs de qualité environnementale et sanitaire. Ce Livre Blanc fait le point sur l’état des connaissances dans le domaine sanitaire et propose des solutions pour améliorer la qualité de l’air intérieur.

 

Près de 35% des Français sont gênés par la qualité de l’air intérieur
La Fédération française des tuiles et briques (FFTB) a présenté une étude réalisée par l’IFOP concernant la qualité de l’air intérieur et les risques pour la santé. Il en ressort principalement qu’un tiers des Français estiment que la mauvaise qualité de l’air intérieur a des répercussions sur leur santé. Détails.

Un Français sur trois a déjà ressenti une gêne attribuée à la qualité de l’air intérieur. C’est ce que révèle le sondage IFOP réalisé pour la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) en juin 2008, auprès d’un échantillon de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus, et dévoilée en ce début de semaine par la fédération. Ce constat est encore plus inquiétant chez les 18/24 ans, qui affirment être 52% à avoir déjà ressenti ce type de gêne.

Mais au-delà de ce «malaise», l’étude dévoile que le thème de la qualité de l’air intérieur est un sujet qui préoccupe très fortement les Français. En effet, près de 80% d’entre eux déclarent être inquiets, et que plus ils avancent en âge, plus ils s’en préoccupent. On passe ainsi de 69% pour les 18/24 ans, à 81% pour les 35/49 ans, pour atteindre 83% pour les 50/64 ans. Ce sujet semble par ailleurs inquiéter davantage les femmes que les hommes, avec respectivement 83% contre 78%.

Un impact sur notre santé
De plus, cette étude souligne que 90% des Français sont conscients de l’impact que le mur, la cloison et l’isolation ont sur la qualité de l’air intérieur. «Si de récentes campagnes ont particulièrement insisté sur l’aération avec succès (68% des Français jugent le mode de vie très important pour la qualité de l’air) 9 français sur 10 estiment que mode de vie, entretien du domicile, aménagement intérieur mais aussi structure du bâtiment, ont un rôle important pour la qualité de l’air intérieur», stipule le sondage.

Cette étude démontre également que près de 9 Français sur 10, dont une majorité de femmes, estiment que la qualité de l’air de leur maison a un impact direct sur leur santé. La perception de ce lien augmente avec l’âge, soit 92% des 35/49 ans et 94% des 50/64 ans. A noter que 84% des 25/34 ans en sont aussi très conscients.

Enfin, cette étude montre que des associations ont été établies entre les effets respiratoires et la présence d’humidité et de moisissures dans les logements ; car dans une maison à risque, c’est-à-dire où il y a présence de moisissures, la part de personne asthmatiques est de 50%, de même pour la toux et les sifflements dans la poitrine dont le taux moyen est de 50% chez les occupants d’une maison humide. L’IFOP souligne aussi que les deux contaminants majeurs à l’origine de ce problème de santé sont les COV (composés organiques volatils) et les moisissures. Ces dernières sont justement très présentes dans les logements à cause d’un excès d’humidité de l’air et lorsque la température est comprise entre 20 et 25°C.

Devant ces chiffres alarmants et à l’heure de la révolution énergétique, ainsi que des réglementations thermiques qui renforcent l’enveloppe thermique, est-ce que les industriels n’auraient pas tendance à en oublier l’exigence de la qualité de l’air intérieur ?

Quelques chiffres
52% de risque supplémentaires de développer une maladie respiratoire si le logement contient humidité et moisissures
10% des nourrissons souffrent d’eczéma atopique
10% des écoliers et 15% des collégiens souffrent d’asthme
L’asthme : 1ère cause d’absentéisme à l’école
3 fois plus d’asthmatiques depuis 20 ans

 

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